Excellente, la vidéo sur le fonctionnement de la cellule !!!
C’est presque aussi simple qu’il était une fois la vie, en plus précis
Oui le gars gère bien son truc.
Et il en à fait pas mal.
Hey, plutôt bien ton jardin. J’ai l’impression que tu mets les patates au même endroit que l’an dernier… tu ne crains pas les doryphores.
Bien cool le coin mare.
Merci, j’aime beaucoup le tiens aussi, très organique, pleins de chouettes fleurs.
Tu exploite la serre blanche ?
Je rêve de ça pour ma zeb, refaire une bonne vieille serre à l’ancienne enterrée de 50cm mais je suis un manche en bricolage.
Les patates sont en zone plus étendue, elles tourneront l’année prochaine avec les poireaux carottes et les panais, c’est ma femme qui gère les rotations, presque tout le reste tourne.
Elle fait moultes purins et ne craint pas grand chose.
Potirons, potimarrons et butternuts testerons une nouvelle zone en dehors du potager, ça coute trop de place malgré le nombre incroyable de soupes d’hiver que ça à donné.
Maintenant c’est surtout la mise en place des fruits qui nous occupe et qui occupe le plus de surface entre les arbres, les buissons et les fraises.
La mare n’est pas grande mais ça amène pleins de bonus, des petites abeilles tournent tout le temps autour, pleins de manges moustiques et pour la petite c’est super pour conscientiser le fonctionnement d’un petit éco-système fonctionnel même si le nombre de tritons de cette année fait un peu peur pour les grenouilles.
C’est notre troisième maison et troisième potager, plus de surface, plus d’expérience, plus d’espèces, plus de repas.
Cet automne je réessaye l’implantation de ceppes et de bollets, j’ai visiblement mal choisi l’endroit, sans doute trop de lumière ou impression de spores foireuse car dans la région ça foisonne.
Carrément, c’est le cœur du potager. Entièrement en matos de recup. Beaucoup de boulot, mais le résultat est conforme aux prévisions. Jamais de mildiou à l’intérieur. Fleurs et légumes s’y côtoient été et hiver. C’est le royaume de mon épouse, elle y bichonne ses préférées.
La serre n’empêche pas que les semis se font dans la maison, à l’abri des rongeurs et des gastéropodes, trop destructeurs de jeunes Plants.
Le gros de la production se fait à l’extérieur.
Quant à la zeb, pas besoin de serre, l’extérieur est Là place idéale, il me semble. Après, c’est une question de discrétion.
Et oui, c’est une activité importante. D’ailleurs mon premier purin d’orties de l’année devrait être prêt cette semaine. J’ai déjà fait des infusions de Mélisse pour les insectes indésirables.
La vache, vous aimez déménager. Elle est en granite ? M’a l’air bien belle. La vue aussi est chouette. Tu es en Bretagne ?
J’ai un pote fondu de champignons. Cette année les bollets n’ont pas donnés comme il voulait mais il a obtenu une petite implantation… à suivre cet automne.
C’est cool de pouvoir s’occuper de son jardin. D’années en années il y a moins de boulot et plus de rendement. De plus, l’expérience aidant on est plus efficace et plus pertinent.
Mon seul regret est de ne pas m’y être collé plus vite l’envie et l’idée étaient là, mais les lumières de la ville étaient plus fortes.
Le principal est fait : l’installation.
Je vous souhaite de garder cette maison plus longtemps afin de profiter des fruits des efforts
Belgique je crois ^^
Je suis preneur de vos idées pour “cultiver” des bolets ! J’en ai qui sont arrivés naturellement sous mon noisetier, le sol a l’air propice…
Simplement les laisser mourir sur place sans y toucher,
ou les forcer en faisant des impression de spores.
Si ils sont venus, c’est que le coin est bon pour eux,
c’est délicat les champignons.
Oui la serre c’est le boost ultime, pour préparer, forcer, soigner, protéger…
On est très chanceux depuis deux ans, peu de limaces et elles ont tellement
de trucs à manger qu’elles ne font pas trop le bordel dans le potager, par contre il y à trois ans c’était à la pelle, je suis presque tout le temps pied nu, alors un vrai plaisir.
On est passé à deux doigts de devoir prendre des mandarins !
Je suis en Belgique, à la montagne () alors la zeb hors serre c’est un peu chaud. J’ai un breeder chez nos voisins hollandais qui vend des variétés acclimatées (https://organicearth.eu/) mais les résultats sont en dessous du travail en serre à mon goût.
On n’aime pas spécialement déménager mais par contre s’éloigner de plus en plus, oui.
Et la on à trouvé une perle rare, très jolie, grosses pierres, pas trop grande, pas trop petite, énorme terrain, beaux arbres, fleurs bien équilibrées par les anciens proprios.
Le vendeur voulait une famille et surtout pas un gîte donc il à fait un prix vraiment bas.
Du coups on à juste rasé pleins de sapins non endémiques pour mettre le potager et les vergers et refait le toit.
L’idée est bien de garder celle là et de la laisser à la petite en état d’autonomie alimentaire raisonnables.
C’est clair que avoir le luxe de pouvoir jardiner c’est fantastique, je pèse chaque jour notre chance.
Ne vous inquiétez pas trop pour les rotations de cultures. C’est une théorie un peu datée qui voudrai que les insectes ravageurs ne puissent pas se développer d’année en année car les plantes changent tout le temps.
Si vous cultivez plein de légumes diversifiées sur une petite surface et qu’en plus vous laisser des herbes spontanées de temps en temps, vous aurez un écosystème équilibré qui évitera les gros dégâts (y’aura toujours des plantes plus faible qui se feront attaqué)
On est une famille de maraicher depuis 4 générations, et jusqu’à ce que je passe en certification bio - où les rotations sont obligatoires - on ne s’était jamais trop fait chier et y’avais pas eu plus de problème que ça. Le seul truc c’est d’avoir un peu de variété différentes qui se côtoie.
Pas faux. Néanmoins, j’ai pris l’habitude de déplacer régulièrement les types de culture qui intéressent des ravageurs spécialisés.
La rotation ne concerne-telle pas aussi la prise en compte de la reconstitution des sols ?
Dans les écosystèmes naturels, les mêmes espèces poussent aux mêmes endroits d’année en année et cela ne semble pas poser de problème pour le renouvellement des ressources du sol.
Si l’apport en matière organique morte est suffisant, les décomposeurs feront le travail nécessaire pour que le sol se renouvelle. Donc en prélevant uniquement les fruits et en laissant les feuilles, les tiges et les racines, on permet au sol de s’enrichir et de perpétuer différents cycles.
Les différence que je vois entre plante en habitat et plante en potager c’est que le lieu n’est pas “choisi” par la plante en fonction de ses besoins et que le nombre de plants côte à côte ne résulte pas non plus de ressources naturellement présentes mais d’amendements dictés par nos besoins et nos savoirs. Quelque part le potentiel peut en être meilleur, finalement but ultime du potager, mais il faut bosser correctement.
En reprenant l’exemple de la zeb, on peut passer de 80g à près de 400g mais on peut aussi dénutrir, brûler, déséquilibrer et avoir 40g de mauvaise qualité. De plus le travail de la terre à intérêt à se dérouler hors sol et l’enrichissement doit être assez massif (sans même parler de produits dédiés assez cher pour booster les différentes phases).
Exact.
Néanmoins, je partage l’avis de @simonbradford
Agronomiquement non, si le but est de faire pousser des plantes pour la consommation humaine, la rotation n’offre pas de levier de fertilisation suffisant pour avoir un sol qui s’enrichit.
Comme le dis @Enthalpi c’est l’apport de matière organique ligneuse qui va reconstituer un sol, voir exploser les compteurs et faire un sol “naturellement” impossible à atteindre comme la terra preta en amérique latine.
Quoi qu’il en soit, la rotation n’est pas une mauvaise chose tant qu’on prend plaisir a organiser son potager. Si ça devient contraignant dans l’organisation des cultures, c’est un des leviers que personnellement je ferai sauter pour ne garder que l’apport massif de matière organique qui est LA pratique à la mode en ce moment et qui n’a pas encore reçu de critique négative. (Mais comme toutes les sciences, l’agronomie évolue et peut-être que le discours changera dans quelques années)
Je vous trouve bien connoisseurs, les amis.
Vous avez des ouvrages à recommander pour un jardiner amateur ?
J’ai lu qq trucs (comme le livre de Fukuoka) mais on s’y perd un peu dans tous ces documents.
Et oui, je suis pour l’expérimentation mais c’est un peu lent.
Par exemple, j’ai découvert que les feuilles de chênes des environs faisaient une terre super fertile, accompagnée d’un peu de mon lombricompost.
Mais pour ce qui est de l’association des cultures, je suis totalement ignorant.
Pour notre part pas de livres précis à part “le grand livre du potager biologique” un livre anglais qui traite l’ensemble de la préparation aux conservations et bricollages. Je te donnerai l’auteur en rentrant chez moi…
Du coup pour faire le lien avec la musique, ça me fait beaucoup penser aux chaînes de Markov dont j’ai entendu parler en m’intéressant aux techniques de composition algorithmiques.
L’idée est de se baser sur des morceaux existants et d’en déduire pour chaque note, les probabilités des prochaines notes jouées. Selon l’ordre de la chaîne, on peut aussi déduire les probabilités de la note suivante en fonction de l’enchainement de plusieurs notes précédents (chaine de markov d’ordre 1, on se base seulement sur la note actuelle, ordre 2 sur les deux dernières, ordre 3 sur les 3 dernières, etc…). Plus l’ordre est bas, plus le résultat sera aléatoire, plus l’ordre est élevé, plus le résultat ressemblera à la pièce originale.
Très exactement… mon année de naissance.
De belles illustrations dedans.
Hello, réflexion setup:
Je pense de plus en plus me faire un setup quasi uniquement live ableton avec des controleurs midi tout simples type launchpad xl car j’aimerais faire des sets de plus de 5 mn et que finalement je n’arrive à faire des morceaux aboutis qu’en « bossant » sur l’ordi (idéalement même en commençant par écrire une partition dans Musescore que j’intègre ensuite en pistes midi) et pas en jammant.
Dans ce cadre, je me demandais s’il était pertinent de revendre le Digitakt (l’argent n’étant pas infini). J’ai l’impression qu’il me freine dans le workflow. J’aime bien le « pattern no » et le « control all » ainsi que l’option « fill » mais j’imagine que des devices live for max existent et peuvent se mapper à des contrôleurs pour ce genre de choses. Après c’est plus le hardware un peu machine arcade qui va me manquer mais pour ça je garde au moins l’AHFX pour le sound design.
Je suis preneur d’avis sur le sujet en tout cas !